Haris Poteris ir fenikso brolija

Nous sommes dans le vif du sujet avec ce gros pavé de plus de mille pages. le Seigneur des Ténèbres est de retour et le monde des sorciers se voit alors divisé entre ceux qui le rejoignent, ceux qui ne croient pas à son retour et ceux qui s'organisent pour le contrer. Dans cet esprit, se reforme l'Ordre du Phénix, mené par Dumbledore, mais les jeunes sorciers en sont exclus, cela est trop dangereux. Qu'à cela ne tienne, ils s'organisent de leur côté avec à leur tête Harry Potter à la fois contre Voldemort, mais aussi contre la Grande Inquisitrice envoyée par le ministère à Poudlard : Dolores Ombrage. Ce tome apporte beaucoup de nouvelles choses par rapport aux autres. En plus de suivre nos héros dans leur scolarité, quelque peu chamboulée, nous les voyons vraiment grandir et s'organiser dans une situation où tout peu basculer du jour au lendemain. Il y a de bonnes choses comme des moins bonnes. On voit que les relations entre nos personnages évolue largement, il y a un quelque chose de différent entre Ron et Hermione et Harry s'ouvre aux relations amoureuses avec plus ou moins de succès. De plus, nos héros ont quinze ans ce qui les place en pleine crise d'adolescence et quelle pire situation pour un adolescent qui se cherche de devoir passer par des moments aussi complexes et de se sentir rejeté, mis à l'écart, considéré comme un enfant alors que l'on veut être grand ? Encore une fois, je parle en tant que quelqu'un qui a d'abord vu les films et encore une fois quel plaisir ! On explore tellement plus de choses à travers les romans au point qu'il s'agit presque d'une découverte à chaque page. Les films resteront importants pour moi, mais les livres les surpassent largement. Je vais bien sûr parler du déchirement de la fin du tome, Sirius pourquoi ? Il va me manquer, c'est indéniable, et même en le sachant à l'avance, c'est tout aussi horrible de revivre sa mort. Une très très bonne lecture, la meilleure depuis le début de la saga ! Quel est votre tome préféré ?

Più di ottocento pagine e, secondo me, non c'è una riga di troppo. Non c'è una divagazione fine a se stessa, un momento di autocompiacimento. È come se Joanne Rowling avesse sempre in mente - come se ce l'avesse avuto sino dall'inizio - dove vuole andare, dove vuol portare chi legge. Non ho le competenze per dire se nel caso di Rowling si possa parlare di letteratura, narrativa o cosa. Però mi pare - sempre per quel poco che vale il mio giudizio - abilissima nel tessere la trama di un lungo racconto.

Mi pare inoltre che abbia saputo costruire i personaggi in modo funzionale alla storia, ma comunque approfondito. Harry Potter sarà pure un mago che fa cose strane in un mondo fantastico. Ma è pur sempre un adolescente e questa cosa, secondo me, viene fuori.

La saga di Harry Potter finora è stata per me un crescendo: il quinto libro mi è piaciuto più del quarto che mi è piaciuto più del terzo che mi è piaciuto più del secondo che mi è piaciuto più del primo. Se continua così, non vedo l'ora di iniziare il sesto.