House of Mirth Illustrated

Lily Bart, about 29 at the start of the novel, had been orphaned a few years prior, and raised by Julia Peniston, her aunt. Lily is accepted in New York City High Society of Nouveaux-Riches, and courted by several men, whom she refuses to marry, not wishing to settle with any one of them, in her yearning to be free of societal pressures, conventions and expected Rôle.

In this novel, Wharton depicts a complex woman, at the turn of the last century, around 1899-1900, who is torn between her wishes for independent, luxurious lifestyle in the Higher Classes, and societal pressures and expectations for her to marry a rich man to secure her positions, both financially and socially. Lily uses her charms – she is depicted a stunning beauty – but refuses marriage proposals.

In her attempt to safeguard the reputation of a person for whom she has very complicated feelings, she lets ill-founded rumors run against her, finding herself gradually excluded from her Milieu, and experiences the pangs of want, isolation, loneliness, and, though not named but vividly described, depression.

The assumption that the story takes place around 1899-1900 is based on a line in the first chapter, about Grand Central Station, the name of the railroad terminal in NYC given in that period, as it was previously called Grand Central Depot.

Edith Wharton’s novel criticizes the Upper Class, its disdain towards lower classes and its moral double-standards.

I enjoyed the fluid narrative in the omniscient third-person style, limiting dialogues to bare minimum exchanges in key moments. The 29 chapters comprised in its “two books”, or “two periods” in Lily’s life, flow naturally from one to the other, with mini-cliffhanger in some but not all of the shifts between chapters. Wharton uses clever, witty and often poetic wording and phrases, often giving ironic, humorous and dramatic effects to her descriptions, much like the three main communication devises her heroine Lily Bart uses with everyone around her.

I appreciated her characterization and complexity for the persons involved; and the unexpected turns of events in their lives.

The book was at first serialized in Scribner’s Magazine, beginning in January 1905 and had a rapid success – in fact, the highest that Magazine had had before. The House of Mirth was published as a novel on 14th of October 1905 and would later be adapted to a play by Edith Wharton herself, with Clyde Fitch, in 1906 ; a silent film in 1918, under the title La Maison du Brouillard (= The House of Fog), directed by Albert Capellani, featuring Katherine Harris Barrymore as Lily Bart.

It was then presented on radio’s Theatre Guild on the Air, in 1952, starring Joan Fontaine and Franchot Tone ; an episode of Martinee Theatre in 1956 and directed by John Drew Barrymore ; A tv-movie for PBS in 1981, directed by Adrian Hall and starred Geraldine Chaplin ; again into a play in 1995, adapted by Dawn Keele, and a last movie in 2000, directed by Terence Davies, featuring Gillian Anderson as Lily Bart.

The House of Mirth was Wharton’s second full-length novel and ensured her reputation as a major novelist and I can understand the influence she had on American authors.

Lily Bart, âgée d'environ 29 ans au début du roman, était devenue orpheline quelques années auparavant et avait été élevée par Julia Peniston, sa tante. Lily est acceptée dans la Haute Société des Nouveaux-Riches de New York et courtisée par plusieurs hommes, qu'elle refuse d'épouser, ne souhaitant s'installer avec aucun d'entre eux, dans son désir de se libérer des pressions sociétales, des conventions et du rôle attendu.

Dans ce roman, Wharton dépeint une femme complexe, au tournant du siècle dernier, vers 1899-1900, déchirée entre ses souhaits d'un style de vie indépendant et luxueux dans les Classes Supérieures, et les pressions et attentes de la Société qu'elle épouse un riche homme pour assurer sa position, tant financièrement que socialement. Lily utilise ses charmes – elle est représentée d'une beauté époustouflante – mais refuse les demandes en mariage.

Dans sa tentative de sauvegarder la réputation d'une personne pour laquelle elle éprouve des sentiments très compliqués, elle laisse courir contre elle des rumeurs infondées, se retrouve peu à peu exclue de son milieu, et éprouve les affres du besoin, de l'isolement, de la solitude et, bien que non nommée mais décrite de manière vivante, la dépression.

L'hypothèse selon laquelle l'histoire se déroule vers 1899-1900 est basée sur une ligne du premier chapitre, à propos de Grand Central Station, le nom du terminal ferroviaire de New York donné à cette époque, car il s'appelait auparavant Grand Central Depot.

Le roman d’Edith Wharton critique la classe supérieure, son mépris envers les classes inférieures et ses doubles standards moraux.

J'ai apprécié le récit fluide dans le style omniscient à la troisième personne, limitant les dialogues au strict minimum d'échanges dans les moments clés. Les 29 chapitres compris dans ses « deux livres », ou « deux périodes » de la vie de Lily, s'enchaînent naturellement de l'un à l'autre, avec des mini-cliffhangers dans certains mais pas tous les décalages entre les chapitres. Wharton utilise des mots et des phrases intelligents, pleins d'esprit et souvent poétiques, donnant souvent des effets ironiques, humoristiques et dramatiques à ses descriptions, un peu comme les trois principaux moyens de communication que son héroïne Lily Bart utilise avec tout le monde autour d'elle.

J'ai apprécié sa caractérisation et sa complexité pour les personnes impliquées ; et les tournures inattendues des événements dans leur vie.

Le livre fut d’abord publié en série dans Scribner’s Magazine à partir de janvier 1905 et connut un succès rapide – en fait, le plus élevé que ce magazine ait connu auparavant. The House of Mirth fut publié sous forme de roman le 14 octobre 1905 et sera ensuite adapté en pièce de théâtre par Edith Wharton elle-même, avec Clyde Fitch, en 1906 ; un film muet en 1918, sous le titre La Maison du Brouillard, réalisé par Albert Capellani, mettant en vedette Katherine Harris Barrymore dans le rôle de Lily Bart.

Il fut ensuite présenté à la radio Theatre Guild on the Air, en 1952, avec Joan Fontaine et Franchot Tone ; un épisode du Martinee Theatre en 1956 et réalisé par John Drew Barrymore ;

Un téléfilm pour PBS en 1981, réalisé par Adrian Hall et mettant en vedette Geraldine Chaplin ; à nouveau dans une pièce de théâtre en 1995, adaptée par Dawn Keele, et dans un dernier film en 2000, réalisé par Terence Davies, mettant en vedette Gillian Anderson dans le rôle de Lily Bart.

The House of Mirth était le deuxième roman complet de Wharton et a assuré sa réputation de romancière majeure et je peux comprendre l'influence qu'elle a eu sur les auteurs américains.